leblogdeMonsieurDupont

Psyko-Land

Dimanche 26 octobre 2008 à 18:20

     Hey c'est super cette v3 en fait ! ...
     Non j'déconne. Y'avait pas besoin de l'améliorer cette version, à part peut-être pour le css/habillage du blog, c'est vrai que là y'a un petit mieux pour voir ce que telle ou telle chose fait, on n'a pas à ouvrir deux fenêtres, ça je le reconnais. Mais après... on a vachement perdu en instinctivité quoi. J'veux dire faut se refaire à pleins de trucs, bien tout lire, alors que la version précédente me semblait quand même à la fois vachement aboutie, et vachement "simple d'utilisation" surtout, même pour un gars qu'est pas un génie en informatique, like me.

     Mais SURTOUT !
Où est passé le FOND MUSICAL ?!!! ça ça craint du boudin, moi je le changeais toutes les deux ou trois semaines, pour le plus grand bonheur de m...ouwa. Et là je me demande si ça va le faire ou pas, la publication de cet article, ou si ça va me squizzer mon texte, comme les deux commentaires que j'ai essayé de posté ce matin. En résumé : beaucoup de remue-ménage dans la communauté cousin, mais niveau résultats pas beaucoup d'améliorations réelles.

     Et en plus... l'interface est moche
-_-'








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Et ce que je redoutais arriva : même pas foutu d'insérer des images :'(. ça puduku ]

Vendredi 17 octobre 2008 à 18:22

     Je viens d'aller courir et j'ai me suis froissé un muscle. J'ai dû faire un kilomètre et demi à tout casser, je suis encore en train de laisser mon corps se ventiler à l'air ambiant, en petit déjeunant, et… j'ai mal au dos.

     Oui oui, au dos T_T°. Là vous vous demandez évidemment comment il est possible de se froisser un muscle dans le dos en courant. Et ben simple : quand on a pas encore repris l'habitude, on a une cage thoracique et une capacité pulmonaire relativement réduite, ben on souffle comme un bœuf, on gobe l'air par dizaines de litres et on fait des sons très glamour à deux à l'heure :
« - hmmmfffrrrrr, heeeeiiiiiiiiiiiiiin-hmmmfffrrrrr, heeeeiiiiiiiiiiiiiin-hmmmfffrrrrr »

     Et puis on tape un sprint pour faire une blague à sa chienne en arrivant sur elle comme un cannibale fond sur sa proie… et quand on reprend son rythme normal, on a mal au dos. Normal. Le cœur et/ou les poumons qui font de tels mouvements qu'ils t'ont arraché un muscle dorsal. A l'aise. Je sens que le réveil sera dur demain matin, quand je me rappellerai plus que j'ai mal, la tête dans le cul, à six heures.

Vendredi 17 octobre 2008 à 1:27

     Avec >>>Duchesse<<< c'est terminé je crois. Définitivement, cette fois. On n'était juste pas faits pour être ensemble je crois. C'est un soulagement de savoir sur quel pied danser en un sens, au moins je sais à quoi m'en tenir. De l'autre côté j'aurais préféré que ça se passe autrement. Mais bon est-ce que ça existe des belles ruptures, ou des ruptures "d'un commun accord" ? [C'est pas une vraie question, on a tous la réponse]
     Et pourtant malgré tout ce qu'elle a pû me balancer à la gueule, malgré tous les propos de ma part qu'elle a déformé pour se victimiser ou parce que son égo supportait pas la critique, malgré tout ce qu'elle comprend pas ou veut pas comprendre, et surtout malgré tous ses mensonges plus énormes les uns que les autres... je l'Aime encore.

    L'Amour est une maladie étrange. On a beau savoir que y'a rien à faire, qu'on n'est pas réellement aimé de manière réciproque, que tous ces bons moments n'étaient que volatiles et futilités pour l'autre, et se sont déjà effacés de sa mémoire pour ne garder que le pire ; on a beau savoir que l'autre résume notre histoire commune aux deux dernières semaines précédant la rupture (et donc pas roses du tout) ; on a beau savoir qu'il n'y a aucun espoir à moins qu'Elle n'opère un changement radical dont elle est incapable... l'Amour ne s'efface pas d'un coup de gomme magique, juste parce qu'on l'aurait décidé.

     On a alors plus qu'à faire semblant de continuer à vivre, tenter de retrouver le goût à des choses quotidiennes qui nous émeuvaient autrefois, et retrouver cette capacité à s'émerveiller d'un rien, comme un gamin curieux de la vie, qui découvre tout. Ëtre un jeune chien fou qui ouvre grands les yeux car chaque couleur est nouvelle, qui respire fort car chaque odeur est volupté, qui tend les oreilles au monde qui l'entoure car chaque bruit est une mélodie merveilleuse.

     Et en même temps, on se sent un peu renforcé vis à vis de son égo, dans mon cas. On sait qu'on devrait pas trop avoir de mal à séduire, surtout après l'été passé à se faire allumer du regard de partout, à en être gênant. Mais suis-je vraiment le genre de mec qui a envie de se taper une nénette par semaine pendant plusieurs mois, pour rebondir, ou profiter de la vie avant de s'enterrer avec une autre ? Et est-ce que ce serait mal si je l'étais ? Je pense pas. Et je pense pas.

     Juste envie de reprendre mon chemin tranquille, de croiser une fille qui prendrait une photo dans ma direction par hasard à la plage, que ma chienne aille l'embêter pour aborder la discution, et repartir dépossédé de mon numéro de téléphone et avec une sensation de légèreté au ventre. Juste envie d'une rencontre bête mais jolie en fait.

     Oh mon Dieu... Je me rends compte en écrivant ces lignes que j'ai des envies de fille du XXème siècle... et en même temps, que les filles que j'aime ne sont pas du tout comme ça. (ce qui est pas forcément contradictoire je crois)
     Veux l'oublier pour de bonnes raisons, parce que je serais amoureux d'une autre.


Découvrez AqME!

Jeudi 16 octobre 2008 à 22:38

     Aujourd'hui c'est la Ste Edvige. Je vais peut-être pas en remettre une couche, mais j'ai déjà exprimé tout ce que j'avais à dire à ce sujet ici :
http://macfly0014.cowblog.fr/edwige-putain-de-la-republique-2615032.html

 



et là :
http://macfly0014.cowblog.fr/edvige-petite-salope-2679446.html

 

http://leblogdemonsieurdupont.cowblog.fr/images/bigbrother1178405749.jpg

 

Mercredi 15 octobre 2008 à 17:37

     L'auteur décrit une histoire que lui a racontée une maman tzigane qui l'a recueillie au sein d'un camp. Cette femme, a passé cinq années à Dachau pendant la seconde guerre, et a vu des nazis éclater des nouveaux-nés sur des murs, entre autres.

     Après la libération, un jour qu'elle marchait dans les rues de Munich, elle a rencontré un de ces monstres femelles nazis, une ancienne surveillante du camp qu'elle a reconnue.
- Oui, me dit-elle. C'est une de celles-là. Elle a fait semblant de ne pas me reconnaître. Mais je me suis approchée, je l'ai regardée dans les yeux. Je lui ai dit : « Quelle surprise de vous voir ici ! Venez donc boire un verre avec moi, pour fêter notre rencontre. » L'autre n'a pas osé refuser. Je l'ai emmenée dans un café tzigane que je connaissais bien. La salope ne se doutait de rien. J'ai parlé aux miens, en langue tzigane, elle ne comprenait pas ce qu'on disait.
     En quelques seconde, les tziganes avaient bloqué les portes, les fenêtres, on ne voyait plus rien de l'extèrieur. Nous nous sommes tous jetés sur elle et nous l'avons tuée, assomée, déchiquetée à coups d'ongles, de lames de couteau, à coups de pied. Elle est morte sur le plancher et personne n'en a rien su. C'était la vengeance des Tziganes.

[ Le noir est une couleur / Grisélidis Réal ]

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